
« ET IL ME MANGEA »
L’histoire c’est la maison. Cette maison fragile, souvent provisoire, qui nous protège, devient le théâtre de nos peurs. La maison c’est l’histoire.
Il était une fois une vaste forêt de sapins noirs…
Comme une lame que l’on aiguise, cette histoire sera résolument criminelle. Le loup, rôdeur sanguinaire et amoureux fou passionné, emplit l’espace de son souffle haletant et de sa poitrine sortent ses cris déchirants.
Expression d’une peur saine et visible qu’il revendique, le loup est fier de sa généalogie. Pour qu’il existe, il nous supplie de continuer à raconter ses histoires.
« Qui était elle, quel était son nom ? ».
Elle est là. Si frêle, si douce, avec sa voix d’enfant fragile et son tendre corps de grand-mère, égrenant ses souvenirs tel un petit chaperon rouge qui aurait vieilli.
Mais qui a mangé qui alors ?
Dans cette maison, qui la protège, aux odeurs de galette se mêle celle de la peur. Le lapin lui veille, passant d’un monde à l’autre, accédant à des portes interdites, il épie, il manipule…
Cela pourrait être un conte comme vous pensez en connaître, mais savez-vous vraiment ce qu’il s’est passé?…
À savourer comme un livre d’illustration, un théâtre d’images et d’émotions.
—–
Création : Compagnie Vélo Théâtre
Mise en Scène : Francesca Bettini
Contient plan de feux, implantation des décors.
Tout Public
Et il me mangea, par la compagnie Vélo Théâtre, dossier professionnel.
Présentation
Auteur(s) : Vélo Théâtre [texte]
Lieu de conservation : Vélo Théâtre
Date de création : 2010
Dates : 14 avril 2011
Période : 21e siècle - 1er quart
Localisation : Apt (France)
Nature du document : document numérique natif
Dimensions : 21 x 29,7 cm
Pages : 9 p.
Type(s) de marionnette(s) utilisé(s) : "ET IL ME MANGEA" L'histoire c'est la maison. Cette maison fragile, accédant à des portes interdites, aux odeurs de galette se mêle celle de la peur. Le lapin lui veille, avec sa voix d'enfant fragile et son tendre corps de grand-mère, cette histoire sera résolument criminelle. Le loup, devient le théâtre de nos peurs. La maison c'est l'histoire. Il était une fois une vaste forêt de sapins noirs... Comme une lame que l'on aiguise, égrenant ses souvenirs tel un petit chaperon rouge qui aurait vieilli. Mais qui a mangé qui alors ? Dans cette maison, emplit l'espace de son souffle haletant et de sa poitrine sortent ses cris déchirants. Expression d'une peur saine et visible qu'il revendique, il épie, il manipule... Cela pourrait être un conte comme vous pensez en connaître, il nous supplie de continuer à raconter ses histoires. "Qui était elle, implantation des décors. Tout Public, le loup est fier de sa généalogie. Pour qu'il existe, mais savez-vous vraiment ce qu'il s'est passé?... À savourer comme un livre d'illustration, passant d'un monde à l'autre, quel était son nom ?". Elle est là. Si frêle, qui la protège, qui nous protège, rôdeur sanguinaire et amoureux fou passionné, si douce, souvent provisoire, un théâtre d'images et d'émotions. ----- Création : Compagnie Vélo Théâtre Mise en Scène : Francesca Bettini Contient plan de feux
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Voir aussi (événements) : Et il me mangea, par la compagnie Vélo Théâtre
Voir aussi (identités) : Compagnie Vélo Théâtre
Références
Identifiant du document original : VEL_DN0004
Mode d'acquisition : production interne
Copyright : © Vélo Théâtre
Contact Copyright : velos[a]velotheatre.com
Référence notice : PAM-DOCUM-004284
Mise à jour : 16/12/2016
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